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Commentaires

B
Bonjour Natascha. C'est toujours un pur délice de lire tes comptes rendus de lecture qui donnent envie de lire le livre que tu présentes. "Une âme aux enchères". Titre provocateur et aussi dissuasif, ainsi que tu l'insinues dans la chute de tes propos: "Mon avis : Je recommande ce roman à tout amoureux de la lecture, mais spécifiquement aux jeunes, notamment les jeunes filles qui se focalisent souvent sur leur beauté pour espérer quelques faveurs sociales." On pourrait y lire: "si ton âme ne t'est pas chère, mets là aux enchères, or c'est ce que tu as de plus cher, donc attention, prends-en soin. Nous sommes dans monde enclin au consumérisme, une société guidée et malmenée par l'argent. Pour ce dernier, certains sont prêts à pactiser avec des forces occultes. La problématique d'"Une âme aux enchères" rappelle cette phrase que l'auteur Claude K BALOGOUN (http://biscotteslitteraires.com/pacte-claude-k-balogoun/) met dans la bouche du devin : ""On ne doit pas aux dieux, ils trouvent toujours le moyen de se faire payer." in "Le Pacte, Editions Plurielles, Cotonou, p 153.). Pour préserver la jeunesse de cet "attentat suicide à la vie piégée", une de tes phrases dans ton compte rendu du livre de Véronique Tadjo, Ébola ou l’expérience de la détresse humaine , nous paraît idoine et bienvenue : "Dans ce désarroi, on perçoit, une prise de conscience et un élan de solidarité. Les solutions sont certes difficiles, mais il faut bien se battre pour qu’il y ait moins de morts, car quoi qu’on en dise, la mort n’est jamais banale ; « elle n’est pas belle ».
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N
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